Weblog de Joël Riou

Cette page ne contient que les entrées du mois de janvier 2006. Les entrées les plus récentes se trouvent . Vous pouvez aussi naviguer vers décembre 2005 ou février 2006.

Premier TD, Agastya

2006-01-26 16:07+0100 (Grigny) — Mathématiques

J'ai repris ce matin mes travaux dirigés à l'université Denis Direrot (Paris VII). La répartition entre les enseignants est telle que j'ai encore une séance demain, puis rien en février et à nouveau deux séances hebdomadaires à partir de mars. Ces séances portent sur le même programme que celles que j'ai déjà faites les deux années précédentes, je ne me plains pas.

Je viens de céder à la tentation d'acheter un serveur : agastya.toonywood.org, qui, si tout se passe rien, devrait devenir le nouvel hébergeur de cette page dans quelques jours ; pas de changement d'URL en vue ; pour vous, il n'y aura aucun changement, si ce n'est que les pages devraient se charger sensiblement plus vite...

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Pride & Prejudice

2006-01-25 18:57+0100 (Paris) — Culture — Cinéma

Aujourd'hui, je suis allé au cinéma voir le film Pride & Prejudice, sorti mercredi dernier. Je l'ai trouvé en tous points admirable : des demeures et ambiances « d'époque », des dialogues plein d'humour tout en étant assez raffinés, de l'émotion, une très belle mise en scène. L'actrice Keira Knightley crève l'écran ; je ne l'avais pour le moment vue que dans Bend It Like Beckham (en regardant sa filmographie, je constate que j'ai aussi dû l'apercevoir dans King Arthur, mais ce dernier film était tout sauf inoubliable...), je ne l'avais pas reconnue sur les affiches et elle me semblait méconnaissable dans les premières scènes du film, mais dès ses premières paroles et sourires, son identité ne faisait plus de doute. C'est également un plaisir d'entendre cette langue parlée par des comédiens admirables comme Judi Dench. Bref, ce film m'a beaucoup plu, et ne m'incite que davantage à lire le roman de Jane Austen dont il est une adaptation (l'autre transposition que j'en ai vue est Bride & Prejudice de Gurinder Chadha).

En mettant à jour mon filmlog, je m'aperçois l'étendue de l'éternité depuis laquelle je n'étais pas allé dans cinéma. Si l'on excepte des projections en petit comité qu'une amie a la bienveillance d'organiser de temps en temps à l'École normale supérieure, ainsi que quelques possibilités rares de voir des films Bollywoodiens sur grand écran, cela faisait probablement plus d'un an que je n'avais payé ma place pour entrer dans un cinéma !

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Réorganisation musicale

2006-01-23 23:58+0100 (Grigny) — Culture — Musique

J'évoquais il y a deux mois et demi mon entreprise de réorganisation de mes fichiers musicaux.

Il s'agissait de trouver une structure de données informatique adaptée à mes besoins et d'y faire rentrer les méta-informations (titres des œuvres, interprètes, etc.) que j'avais déjà saisies. Il restait aussi à saisir ces méta-informations pour les disques que j'avais achetés ces derniers temps. Hourra ! C'est maintenant chose faite !

Si cela vous intéresse de savoir quels sont les disques je possède, vous pouvez aller naviguer dans la hiérarchie ; c'est assez profond, mais je jure que je n'y ai pas caché The Book of infinity.

Je viens aussi d'écrire un petit programme affichant la liste des cinq cents derniers morceaux de musique que j'ai écoutés. Ce fut un vrai casse-tête de faire afficher cette liste de façon hiérarchique ; le programme qui fait ça est horribilissime, je me console en me disant qu'il y avait moyen de faire encore bien pire...

Avec tout ça, il reste des dizaines et des dizaines de disques que je n'ai pas encore pris le temps d'écouter. En effet, j'essaie toujours de procéder à la première écoute d'un disque dans les meilleurs conditions possibles : ne rien faire d'autre pendant l'écoute. Pour des œuvres courtes, il n'est pas trop difficile de trouver le temps d'en écouter de nouvelles assez régulièrement ; pour des opéras ou des oratorios, c'est plus difficile.

J'ai tendance à réécouter très souvent les mêmes œuvres ; il y a des valeurs sûres, comme La messe en si mineur et les concertos brandebourgeois de Bach, et d'autres qui dépendent des périodes : en ce moment, j'écoute souvent certains extraits de Agrippina de Händel, mais je suis encore plus obsédé par le Stabat Mater de Pergolese et sa version Bach : Tilge, Höchster, meine Sünden (BWV 1083). Il faudrait que fasse un petit programme qui sélectionne aléatoirement une œuvre musicale dans ma collection.

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Langues étrangères

2006-01-20 22:18+0100 (Grigny)

Je ne me trouve pas très doué pour les langues étrangères. J'ai appris l'anglais à l'école, je me débrouille plutôt honorablement dans cette langue (entre le collège, le lycée et les classes préparatoires, cela fait neuf ans de cours, il serait assez risible que cela n'eût servi à rien !), si je n'ai pas de difficulté particulière pour comprendre des articles de presse en anglais, je n'ai pas encore tout à fait le niveau pour lire des œuvres littéraires. Je suis aussi censé avoir fait de l'allemand pendant un certain nombre d'années, mais mon niveau est assez risible : même pour acheter des billets de train au guichet en Allemagne, je suis limite...

J'envie ceux qui semblent avoir de grandes facilités à apprendre de nouvelles langues, ou qui ont su approfondir leur connaissance d'une langue étrangère pour la maîtriser à fond.

J'habite à Grigny (Essonne) depuis deux ans et demi. Le moins que l'on puisse dire, c'est que cette ville, assez jeune, est visiblement riche d'une très grande diversité culturelle. Par conséquent, les langues parlées sont aussi très variées. Parmi ces langues, beaucoup me sont complètement étrangères dans la mesure où je ne connais même pas leur nom, bien que je puisse émettre des conjectures (et je suis trop timide pour interrompre une discussion entre gens qui me sont inconnus pour leur dire quelque chose comme « Au fait, j'aime bien les sonorités de votre langue, pourriez-vous me dire comment elle s'appelle ? »).

Ce matin, j'arrivais à la station de RER et allais m'installer sur les sièges-qui-ne-sont-pas-des-bancs pour attendre mon train. Je commençais à lire très doucement les premières lignes d'une pièce de Hugo (figurant dans un recueil de pièces comprenant Le roi s'amuse...) quand je fus tout à coup déconcentré par la conversation de mes voisins. Ils ne parlaient pas français, mais ce n'est pas cela qui m'a déconcentré, bien au contraire : il m'est quasiment impossible de lire un texte attentivement si j'entends par ailleurs des paroles qui me sont intelligibles. Des paroles dans une langue à laquelle je ne comprends goutte ne me gênent pas ; bizarrement, je n'aime pas lire en écoutant de la musique (même instrumentale), pourtant je n'ai presqu'aucune connaissance technique en matière de musique.

Revenons à mes voisins, dans les premières secondes, je n'identifiais pas vraiment la langue qu'ils parlaient, puis tout à coup, dans ce qui me semblait une bouillie de phonèmes, je distinguai des नहीं, उसके ou encore des बहुत अच्छी ; il s'agissait bien de hindi. Rempli de la satisfaction d'avoir identifié cette langue, que je n'ai eu qu'une poignée d'occasions d'entendre en France (j'aimerais trouver le temps de l'apprendre, je n'ai jamais dépassé le stade de la dixième leçon de la méthode Assimil, ce qui permet cependant de suivre l'intrigue de certains films...), je pouvais monter dans le train qui venait d'arriver et reprendre ma lecture.

En rentrant de mon bureau, je me posais une autre question linguistique concernant les gens qui utilisent une langue qui s'écrit dans plusieurs alphabets : appréhendent-ils la lecture de textes de manière différente suivant l'alphabet utilisé ? Je pensais notamment aux sanskritistes travaillant avec les alphabets indiens et leur transcription latine scientifique (IAST) ; au passage, j'ai lu récemment que le sanskrit s'écrivait traditionnellement dans tous les alphabets indiens et que ce n'était que depuis la colonisation anglaise que l'alphabet devanāgarī s'était généralisé pour écrire les textes sanskrits. On peut aussi penser aux gens comprenant les textes écrits en ourdou et en hindi, l'ourdou utilisant l'alphabet arabe et le hindi l'alphabet devanāgarī. De façon analogue, peut-on acquérir la faculté de comprendre un texte écrit en transcription phonétique aussi bien que s'il était écrit dans l'alphabet usuel ? Y compris en « lecture rapide » ?

Inversement, pour améliorer l'expression orale et, qui sait, faire dépérir le French accent, peut-être faudrait-il enseigner sérieusement l'alphabet phonétique aux écoliers français, et les faire travailler avec les deux alphabets dans leur apprentissage de l'anglais ?

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Ravitaillement en thé

2006-01-12 22:40+0100 (Grigny) — Culture — Lectures — Culture indienne — Thé

Depuis trois ou quatre mois, la quantité de thé dont je disposais diminuait comme une peau de chagrin ; il ne me restait plus un seul gramme de thé vert.

Avant-hier, je suis donc allé me ravitailler à la maison des trois thés (33 rue Gracieuse, dans le cinquième arrondissement à Paris). Cette maison de thé est un lieu absolument exceptionnel pour les amateurs de thé chinois. Les prix sont assez élevés ; il y a cependant de nombreux thés à des prix tout à fait abordables. Cette fois-ci, c'était maître Yu Hui Tseng qui s'occupait de moi ; elle me faisait sentir des thés que je n'avais pas encore essayés, me donnait avec enthousiasme des informations sur les thés Dong Pian, sur l'entretien des plantations de thé, sur les modes parmi les planteurs (apparemment, il y aurait pas mal de cultures de thé rouge qui seraient reconverties pour faire du Pu Er, le thé noir par excellence), sur les erreurs de nomenclature commises il y a cent ans et perpétuées par tradition... Je viens de mettre à jour ma liste de thés.

Je ne suis pas reparti sans quelques dizaines de grammes de Anxi Tié Guan Yin 3, j'ai hâte de pouvoir le déguster tranquillement.

Depuis les vacances de Noël, j'ai entrepris de lire Mythe et Épopée de Georges Dumézil (édition Quarto Gallimard). Je suis dans le premier volume, intitulé L'idéologie des trois fonctions dans les épopées des peuples indo-européens et publié en 1968. La première partie de l'ouvrage aborde ainsi une analyse de l'épopée indienne du Mahābhārata sous l'angle très particulier de l'idéologie des trois fonctions. Les peuples indo-européens auraient ainsi eu cette idéologie commune dont l'auteur met en lumière les manifestations dans cette épopée indienne, mais aussi dans l'« histoire » de la fondation de Rome, l'Énéide, etc. Il s'agit là d'une lecture que je trouve très passionnante. Cette théorie est controversée (le livre contient de nombreuses réfutations), cependant le moins que l'on puisse dire, c'est que les arguments sont admirablement bien étayés.

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Mon cahier

2006-01-05 01:45+0100 (Grigny) — Mathématiques

Hier, j'ai reçu un tiré à part d'un article de recherche mathématique qui été adressé au Professeur Joël RIOU, cela fait toujours plaisir, mais pour le moment, je ne suis même pas docteur...

[Une page de mon cahier]

Enfin, ça va, j'avance assez bien en ce moment ; hier, pendant les quatre heures de train, alors que d'habitude je n'arrive pas à travailler, j'ai rédigé une bonne douzaine de pages (ci-contre, une de ces pages). Il s'agissait essentiellement des deux premières sections d'un chapitre de ma thèse qui devrait en contenir quatre ; mathématiquement, ce n'était pas difficile (cela fait plus de six mois que les idées principales concernant ce chapitre sont au point), mais il y a un vrai effort de rédaction à faire : structurer les choses, prendre les bonnes définitions au bon moment pour que les résultats s'enchaînent naturellement. Par exemple, dans une autre partie, j'ai décidé d'assumer complètement ma manière de voir les choses, j'ai donc changé une définition mathématique (qui s'avère équivalente, bien entendu), et le résultat est beaucoup plus clair et agréable que la première rédaction qui était très bancale.

Une fois les idées mathématiques principales dégagées, ce travail de rédaction se passe par étapes :

  1. Vérifications brouillonnes de détails mathématiques ;
  2. Rédaction proprement dite ;
  3. Saisie informatique ;
  4. Relecture ;
  5. Corrections.
[Une page de mon cahier]

Les deux premières étapes se passent entièrement sur papier. J'ai ainsi un cahier (format A4, à grands carreaux, environ 300 pages) que j'emporte dans tous les endroits où j'envisage de faire des mathématiques (je ne l'ai par exemple pas emmené avec moi lors de mon voyage en Inde). Avant d'écrire quelque chose dedans, je note dans la marge la date, par exemple 2006-01-04. Le cahier que je remplis actuellement a été commencé le 2005-09-12, et est presque fini. Le nombre de pages remplies par jour est très variable : il y a des périodes où je n'écris rien (ce ne sont pas forcément les périodes les moins productives), d'autres où, comme sur le spécimen ci-contre, je peux griffoner des dizaines de pages par jour (étape 1), et d'autres enfin où je fais une rédaction assez soignée (étape 2) et où le nombre de pages est moindre. L'étape 3 ne pose en principe aucune difficulté (autre que typographique) : si le texte est suffisamment bien rédigé sur mon cahier, cela va tout seul (et je tape assez rapidement au clavier). L'étape 4 réside dans la relecture : j'imprime une version papier sur laquelle je prends soin d'écrire la date (ou plus précisément le numéro de révision CVS), et j'essaie de la relire très attentivement et de noter au crayon les petites erreurs, ce qui est une tâche assez ingrate. L'étape 5 est alors assez simple (pourvu que l'on mette définitivement de côté les feuilles passées à ce crible, sinon on ne s'y retrouve pas entre les fautes qui ont effectivement été corrigées dans le fichier informatique et les autres...). Après, pour compliquer le tout, il faut imaginer qu'à un instant donné, les différentes parties de ma thèse sont à des étapes de réalisation différentes.

Sur cette page de cahier, vous pouvez remarquer un filet dans la marge de gauche : cela me sert à distinguer les pages de brouillon (étape 1) à l'intérieur des pages soigneusement rédigées (étape 2) lorsqu'il pourrait y avoir ambiguité (je ne vous montre pas les pages pleines de gribouillis...). Si vous avez de bons yeux, vous ne manquerez pas d'y distinguer quelques interrobangs, points d'interclamation points exclarrogatifs 

Ce système me semble plus utile qu'un autre système où une fois les détails mathématiques résolus, je m'installerais tout de suite devant le clavier d'un ordinateur pour rédiger directement sur l'écran.

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Folies

2006-01-04 18:49+0100 (Grigny) — Culture — Musique — Opéra — Lectures

Aujourd'hui, j'ai été pris d'une légère folie consommatrice ; cela ne m'était pas arrivé depuis un certain temps.

J'ai ainsi passé pas moins de quatre commandes par Internet. Tout d'abord deux commandes de DVD, disques, livres. Dans un moment d'égarement, j'ai bêtement essayé d'acheter une version électronique d'un livre. Le site indiquait qu'il suffisait d'avoir Adobe Reader 6 pour accéder au document ; je pensais que tout irait bien, que ce serait un honnête PDF ; mais il s'est avéré que c'était du PDF crypté pour lequel il n'existe apparemment pas de lecteur fonctionnant sous Linux. Je m'en suis gentiment plaint à l'éditeur qui vient de me répondre qu'il acceptait de me dédommager en m'envoyant une version papier. Ouf.

Les deux autres commandes sont des places de concert : une pour Rigoletto, opéra de Verdi, dont j'aurai le privilège d'assister à une représentation en compagnie de quelques autres prosélytes lyriques.

L'autre place de concert, c'est la faute à la publicité que je reçois régulièrement du Théâtre des Champs-Élysées, publicité masquée sous le nom de Carnet de janvier à mars 2006 : j'ai résisté à la tentation jusqu'à l'avant-dernière page, mais à la dernière, j'ai remarqué un concert de l'orchestre national de France au programme duquel figure Les Planètes de Holst ; ce sera aussi l'occasion d'écouter la mezzo-soprano Anna Caterina Antonacci, que j'avais vue pour la première fois dans Agrippina de Händel, dirigé par René Jacobs et mis en scène par David McVicar (d'ailleurs, depuis quelques jours, je me réécoute en boucle un enregistrement de cet opéra, dirigé par Claude Malgoire, avec notamment Véronique Gens, Philippe Jaroussky et Ingrid Perruche comme solistes, en particulier le dernier air Ogni vento du deuxième acte ; tiens, si j'achetais le DVD ; ah, zut, je l'ai déjà !).

Pour d'autres manifestations de ce genre de pathologies, cf. les livroliques anonymes.

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Bonne année 2006

2006-01-03 21:15+0100 (Grigny)

Tout d'abord, je souhaite une très heureuse année 2006 à tous les lecteurs de ce blog.

Ce site n'a plus été joignable à partir de la nuit du 28 ou 29 décembre 2005, semble-t-il à cause d'une ook-ook-erie (cf. le site Banana Awards pour une notion avoisinante) chez le fournisseur d'accès (Free) qui aurait eu pour conséquence que l'adresse IP censément fixe de l'ordinateur par lequel transitent ces pages est mystérieusement passée de 82.231.153.6 à 82.231.153.78.

Pendant les quelques jours que je passais à Brest, j'envisageais diverses hypothèses pour expliquer cette défaillance : coupure de courant prolongée (l'ordinateur est sous onduleur), switch planté, cambriolage, etc. Bref, je fus assez surpris de voir ce changement bizarre de l'adresse IP qui m'est attribuée par Free ; heureusement, j'ai pu diagnostiquer ce problème assez rapidement.

Je commençais à prendre acte de ce changement en mettant à jour en conséquence les adresses IP pour le domaine toonywood.org chez mon registrar. Mais, il manquait le DNS inverse, à savoir, ce qui associe un nom à une adresse IP (techniquement, c'est un champ PTR) ; en l'occurrence, je voudrais remplacer la correspondance 82.231.153.78 → ris91-1-82-231-153-78.fbx.proxad.net par 82.231.153.78 → boumbo.toonywood.org.

Je me rends alors sur le site de Free pour faire cette mise-à-jour, mais je tombe sur le message d'erreur suivant :

Demande de reverse DNS : boumbo.toonywood.org

Votre adresse IP fixe est : 82.231.153.6
Le reverse demandé est : boumbo.toonywood.org
Le reverse pointe sur : 82.231.153.78

Le reverse DNS demandé ne pointe pas sur votre adresse IP fixe.

Bref, si je comprends bien le message, le site de Free n'est même pas « conscient » du fait que l'adresse IP effective de ma connexion n'est plus 82.231.153.6. Ook ! Ook ! Je me demande bien ce que je vais faire, j'ai bien peur que si je signale le problème, on me remette l'ancienne adresse IP, ce qui impliquerait un nouveau changement dans le DNS, et quelques jours d'attente pour que cela rentre dans les caches. Grmf.

Depuis quelque temps, je commence à envisager de migrer ce site vers un vrai hébergeur Internet. Pour diverses raisons, je n'envisage pas autre chose qu'un hébergement dédié, c'est-à-dire que j'achèterais un ordinateur qui serait entreposé parmi des milliers d'autres dans un data centre. Si vous avez des conseils en la matière, je suis preneur.

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