« Le MP3 rend-il sourd ? | Vingt-quatre heures du râga »
2008-09-23 19:41+0200 (Orsay) — Jeux
En général, je ne participe pas aux chaînes
, qu'en d'autres
temps, nous eussions peut-être appelées boules de neige
. Mais
aujourd'hui, cela vient de Céleste, et c'est si
gentiment demandé que j'ai choisi d'y répondre.
Si j'ai commencé à lire Céleste, c'est d'abord parce que, comme moi, elle apprécie tout particulièrement l'Inde. Si je continue, c'est parce que je constate qu'elle écrit toujours aussi bien, qu'elle évoque Bologne, où elle réside, l'Inde, où elle a beaucoup voyagé, ou bien ses indignations, que je ne partage pas forcément.
Ça vient, ça vient.
J'ai choisi un des deux livres que je lis ces jours-ci. Pourquoi celui-ci plutôt que celui-là ? Parce que l'autre me semble nullissime.
Fear dizzied me.
Only two weeks had passed since my
swayamvar. Had the unsuccessful suitors returned for revenge? But
Yudhisthir said, Look, there's the banner of Hastinapur!
Il seems that your uncle has sent an entourage to welcome you
home!
Dhri said with an ironic smile.
Il s'agit de The Palace of Illusions de Chitra Banerjee Divakaruni édité chez Picador en 2008, le Mahabharata raconté par Panchaali (Draupadi).
J'ai acheté ce livre dans une librairie de Park Street à Kolkata. Pour 495 roupies, j'ai eu un bel ouvrage relié, avec une couverture verte rigide ; il manque juste le fil marque-page. Moi qui pensais lire une nouveauté indienne avant sa parution probable en France, en visitant une grande librairie il y a quelques jours, j'ai été fort marri de voir qu'une traduction française avait déjà paru chez Picquier !
Répugnant moi-même à participer à des chaînes, je ne voudrais pas embarasser d'autres. Si quelqu'un souhaite reprendre le témoin, qu'il le fasse.
Vous pouvez poster un commentaire grâce au formulaire ci-dessous.
Date de génération : 2023-07-27 14:18+0530 ― Mentions légales.